20 novembre 2007

A la découverte de la notoriété

Alors voilà, on attaque la partie de l'année que, scolairement parlant, j'aime le moins : le second trimestre / l'hiver.

Et pour bien commencer cette période néfaste, quoi de mieux qu'un bon cassage de gueule en plein milieu du self ?
Beaucoup d'hypothèses m'ont traversés l'esprit au moment précis où mon coxys heurta le sol : est-ce Gladys, ma collègue de blondeur qui a honteusement écartée ma chaise ? ou bien un acte de sorcellerie serait responsable de cet incident ? Alain Fournier serait en fait un Poudlard Berrychon ?

Plus tard, une fois le calme revenu dans le self, et lorsque tous les gens que je connaissait furent passés pour me demander si mon postérieur se portait bien (ui ui, merki), je pu enfin prouver que non, c'était pas ma faute, mais celle de la chaise qui basculait en arrière, de part l'absence de 2 pieds.

Après ce fâcheu événement, je pu enfin comprendre, l'espace de quelques heures, ce qu'était la célébrité, la gloire et la notoriété : tout le monde vous regarde, commente (et rit ?).
Bon en l'occurrence moi c'était plutôt de la messe-basse et du racontage du pourquoi du comment cette fille là elle s'était ramassée la honte du siècle… de onze heure, heureusement d'ailleurs. (midi étant l'heure de pointe)

Pas grands évènements dans cette vie si follichone qu'est la mienne sinon.
Le Tour du Val d'Au, Dimanche qui nous emmena, Cartman, Mumu et moi-même à rencontrer Cisheure, sa collègue, Dédé-Monk, Adèle, son copain, son chien, ses parents, La Bonneaud (agonisante), et Catherine, avec des gens qui courent longtemps en tenue moulante.

Aujourd'hui c'était grève, c'était bien, quatre heures de cours, suivit d'une escapade à St Germ qui fut très courte, puisque bus avec Lise et Alexis, puis go to the Regretté Collège, secrétariat, me suis faite gueuler dessus par la dame parce que ma carte d'identité est toute périmée (" Tu pars en Angleterre ?! Ah mais faut se dépêcher sinon tu pourra pas partir !! Nan mais tu vas le rater ton voyage franchement "), et là, the choc : apercevage de Cricri descendant les escaliers (cet homme n'a t-il jamais cours ?) et sprint vers la salle des profs.
Ce lieu étant toujours prohibé dans nos esprit d'anciens élèves, Lise et moi avont longtemps hésité avant d'entrer, entendant la voix douce et sensuelle de Patoche qui racontait visiblement une histoire tordante de rire (à en juger par la tronche de Delec). Donc nous ne sommes pas entrés, et avons très simplement marché vers la sortie.
Après quoi j'ai du courir pour rattraper la voiture de mon bien aimé frère pour pouvoir rentrer chez moi - prenant juste le temps de dire aurevoir à Bérangère et Samia : TROP LES BOULES.

Ps : toujours pas les toph's du 16, navrée.

6 novembre 2007

Une citrouille, deux citrouilles, trois cit…

Un petit bilan des ces (lonnngues) vacances de Toussaint s'impose.
Qui aurait pu deviner que, après décalage horaire auquel je suis naturellement tout à fait adaptée, hé ben il ne se passerait strictement rien pendant ces presque-quinze-jours.

Alors oui, tout de même, nombreuses furent les heures de réflexion sur la personnalité complexe et complète d'Hercule Poirot, confrère Belge auquel je dois beaucoup. En effet, c'est principalement grâce à lui que mes journées furent moins profondément chiante.

Et comment ne pas évoquer le nouveau DVD Live d'ELLEGARDEN, vu et revu quatre fois de suite. Parce que je les aime, et que quand on aime on ne compte pas. TROP L'EXTASE

Fais la rencontre de Corinne, charmante quadra qui se démène seule, dans un salon de coiffure tout pitit pitit, et dont les seuls plaisirs se résument en trois points :
- son chien
- sa vitrine
- les cheveux des gens

Re-vue Bruno, employé modèle (et presque grand-manitou) de chez Affrelou (siiii, Tchin-tchin et tout) - galerie marchande Carrouf' - adorable. N'a cessé de se foutre de ma gueule d'adolescente révoltée contre la société et le système de consommation qui... p***** combien les lunettes ?!! TROP RELOU.

Ai également beaucoup compatis pour Sixtine, modèle de la profession pédagogique, qui m'a toujours fait délirer, mais que malheureusement elle a traversé la periode pas drôle de la quarantaine mal assumée, que donc j'lui ai envoié un mail et qu'elle était super contente, et que même j'ai mon pseudonyme écrit dans son blog à elle, une réponse sur ma boîte mail et tout, nananana. TROP CLASSE.

Bien sûr il y a eu, avant ces rencontres trépidantes, la visite à Azy.
Oui, encore oui.
Mais cette fois ci le programme fut moins cycliste, moins physique, plus " musical ".
Alors oui, c'est vrai que la guitare de Clara ne faisait pas vraiment ce qu'on pouvait appeler de la musique hein, au début. (merci les accordeurs électroniques, trop géant la technologie !)
Un exceeeellent week-end parmi les bêtes et où j'ai assouvit l'un de mes rêves les plus profond : éclater un gamin de 8 ans (tout pile) contre un mur.
Courage Lancelot, bientôt tu sera trop grand pour que l'on te porte. =)

En évoquant Lancelot (et là je fais un rappel, voyez), me suis faite et refaite l'intégrale de Kaamelott avant l'épisode de Lundi soir, se finissant en eau de boudin mais grave.
Moralité : Astier, trop bon.

Refaits aussi tous les albums de Queen et des Weezer, qui collent tout à fait à la saison, je trouve.

J'aimerais aussi marquer " bossage intense ", mais c'est faux.
J'ai bossé, enfin, j'ai médité sur le monde, le Darfour et l'Automne quoi.
Jusqu'à ce qu'on (Alexis, Lise, Emma, et par erreur puisqu'on s'est malencontreusement croisées, Julie) m'oblige à travailler. Médiathèque, lieu dans lequel je n'avais pas foutu les pieds depuis ma tendre enfance, ce temps bénit où le logement était notre maison, où St Germain était notre village, où on (mon frère et moi hein) était trop mignon, où je faisait mes premiers pas dans le gravage (Queen, encore), et surtout où mon père était aux abonnés absents. Bref, que de souvenirs.

Demain c'est Creuse, TROP HÂTE !
(laissez moi vous dire que les photos, ça va y aller)
(celles d'aujourd'hui viendront plus tard)