11 septembre 2007

Jubilation rime avec Adaptation

Après avoir surmonté la première et dure épreuve de la rentrée, nous sommes fin prêts à affronter le premier trimestre. (non ?) (...vos gueules) (on ne conteste pas la parole divine)

Genre on connaît nos emplois du temps.
Style on est capable de suivre un cours Lamouresque sans s'écrouler de rire.
Et p'tet même qu'on se paume plus entre les couloirs et les moults étages...



Comme je vous le disait, la prof' de français est, en gros, l'exeption pour laquelle j'aime aller en cours.
Je fuis l'Histoire, parce que je pense trop à Chouchou.
Je prends la fuite aussi pour l'Espagnol et l'Anglais, car c'est respectivement l'emmerdement et le bordel qui font qu'on regarde par la fenêtre. (note : penser à faire un article sur " L'Art de la Fenêtre " )

Et j'vous parle même pas des Sciences...
Les Maths font exeption, parce qu'on s'marre bien.
Pour ses tics, à l'aut' tache là.
Ses répliques à répétitions, son accent tout pourri qui fait prendre un sens nouveau à des mots tel que "Zéro" ou "Au fait" sans oublier "C'est appétissant !". Mais il n'y a que pour ça, en fait.
La plupart du temps j'observe les matheux, tout contents d'éxhiber leurs résultats à des équations existentielles qui seront éffacées dans les cinq minutes suivantes...
Et là, je me dis que j'ai hâte de retourner en français.



Et puis entre deux cours chiants, il y a l'Amphi'.
L'Amphi, c'est top.
On dirait un skatepark tout petit, ou bien une piscine vide, au choix.
Des marches, des colonnes, des marches, et quand y'en a plus y'en a encore : c'trop bon.
Lorsque vient le temps d'un trou d'emplois du temps qui dure des heures, c'est là qu'on conte nos cours, qu'on se retrouve.
Le sol y est chaud, réchauffe le dos entre deux photos.












(Genoux de Mlle "...")


Bref, y'a encore du boulot, mais on commence à s'y faire. P't et même que dans le prochain post', je vous avouerais que passer la carte magnétique de la cantine dans sa borne est devenu un geste tout à fait banal. (ouais, mais là non) (moi j'ai les yeux qui brillent quand j'passe ma carte) (ixe-dé)




(Cadeau d'anniversaire, merci encore Cartman)