27 février 2010

Ok.


D'accord, j'ai peut-être eu tort. (Juillet 2009)
Majérus, en tout cas, il avait raison : je n'écrivais plus rien ici. Peut-être parce que je ne sais plus écrire, tout simplement.

Je ne sais plus grand chose, à dire vrai.
Tours ? Mes chétives préoccupations ? Le sens de la vie.

Ouais, le sens de la vie, cette putain de Philosophie, et cette pute de promesse - aussi.

Je crois que tout est dit : je suis vulgaire, j'ai envie de me trancher la tête chaque fois que je croise mon reflet, j'ai envie de serrer la sienne à chaque fois que je l'aperçoit, sans oublier cet innommable bordel que sont mes pensées, et je te parle même pas de mes relations sociales, cher blog de mes ovaires.

Nan parce que, faut le dire, je n'ai jamais été calée là dedans. De Saint Doulchard à Bourges à pied, j'ai fait face à une incroyable vérité : je ne suis décidément pas faite pour sourire, et le geek qu'est Dieu, qui joue avec ma vie sans intérêt, le sait très bien.

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